The shadow she made | Libre [Prio Imaginaire si possible. ♥]

Une décision devait être prise, et elle la prit après avoir repoussé le délai maintes et maintes fois. Les deux chemins possibles menaient à des impasses, bien différentes l'une de l'autre. Ses rencontres depuis la naissance de son fils avaient été moindres mais toutes aussi agréables les unes que les autres, lui apportant ce bien-être qu'elle avait pu connaître et qu'elle regrettait, lui faisant oublier ses devoirs qu'elle n'avait jamais réellement réalisé jusqu'aujourd'hui encore.

Mais c'était nécessaire, pour tout le monde. Elle allait beaucoup en souffrir, et il allait en souffrir tout autant sans doute. La différence se situait dans sa conscience : elle ne parvenait plus à trouver sa place dans son propre foyer, et avant que les choses ne se concrétise dans la tête de l'enfant blanc, il fallait qu'elle agisse avant que sa mémoire et sa capacité à lier les choses ne soient construites.

Evidemment, il faudrait s'expliquer auprès de ses pairs à son retour, mais la rouge n'avait pas encore la tête à ça. Elle le ferait oublier parmi les siens, bien qu'il n'ait jamais été véritablement exposé. Il n'était pas une fierté, et resterait toujours un parasite. Elle avait essayé de l'aimer comme une mère aime son fils, sans grand succès. Il se retrouvait être juste un meuble quémandant attention et ressources, un fardeau qu'elle devait déléguer à la nature.

Le tuer ? Non. L'apporter aux panseurs pour qu'ils en prennent soin ? Il resterait dans son champ de vision, et elle ne pouvait plus le regarder. Sa destiné par la suite ne dépendrait que de lui et de ses rencontres. Le cœur de la louve se pinça.

Il était temps d'y aller.

En pleine nuit, sans humidité dans l'air, elle le prit par la peau du coup comme à son habitude, une sacoche de fortune sur le dos pour transporter quelques babioles. Le louveteau ne dit rien, se laissant bercer par les pas rapides de sa mère qui inspectait les environs, stressée. Des larmes vinrent tomber sur son museau noir, sans que ce soit les siennes. Il ferma les yeux, et il se perdit dans ses rêves de nouveau.

Maps traversa rapidement ses terres, partant vers le Nord, sans véritable destination. Elle voulait juste aller loin, très loin, faire en sorte qu'il ne puisse pas revenir facilement. Elle alla de terre en terre, reniflant, regardant, réfléchissant. Elle n'avait jamais été aussi alerte de toute sa vie. Les terres par ici étaient très plates, il lui fallait trouver un cocon, quelque chose où sa descendance pourrait dormir en sécurité jusqu'à ce qu'il ne devienne plus son souci, ni sa préoccupation.

A force de zigzaguer, elle trouva un trou dans le sol. Ses oreilles pivotèrent droit devant, elle avait un bon présentiment ici. Elle entra dans la tanière, qui semblait infinie, mais l'entrée serait largement suffisante. L'enfant fut posé au sol, encore endormi, la mère déposa le sac à peine fermé à ses côtés. A l'intérieur, de quoi survivre quelques jours ou semaines, normalement. Elle s'assit, de nouvelles larmes vinrent s'écraser dans le sol. Maps serra les crocs, la vision trouble, ses sens en berne, la gorge nouée comme si on l'avait pendue. Elle se sentait si nulle, en voulait à la terre entière pour ses fautes. Elle comprit l'expression "avoir le cœur brisé", l'épisode avec Cloud, à côté, n'était pas aussi intense.

Elle resta interdite plusieurs minutes, peinant à calmer sa tristesse. Bien évidemment qu'il allait lui manquer, au fond. Elle l'aimait malgré qu'il n'avait rien à faire à ses côtés, Holzër. Elle l'avait créé, et essayé d'être présente, lui inculquer les bonnes choses, mais ne se sentait plus capable de vivre avec la moitié de ce qu'elle ne pouvait plus regarder droit dans les yeux sans dégoût.

La jeune adulte lui fit une lèche sur le front, tout irait mieux désormais. Elle ne reproduirait pas les mêmes erreurs que sa mère, qui avait préféré les donner en pâture à ses ravisseurs plutôt que d'écourter leurs vies qui, au final, n'avaient tenu qu'à la bonté du chef de sa meute natale. Oh, elle ne s'en plaignait pas, elle avait eu une enfance de rêve, bien au dessus des lois de la nature de ces sauvages qui lui servait de famille. Sa mère et son frère n'avaient sans doute pas eu cette même chance, et pensait très souvent à ce qu'ils avaient pu endurer avant de disparaitre. Ses yeux se fermèrent et laissèrent de nouveau échapper un filon salin le long de son visage.

Elle déposa une couverture sur le dos du mâle blanc, toucha sa truffe avec la sienne, et fit demi-tour, s'efforçant de ne pas se retourner. Les yeux mis clos, figés dans le vide devant elle, Maps regagna ses terres entre deux crises de larmes. Elle avait échoué, et s'en voulait bien assez.

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Les nuits et les jours se suivaient, sans que Cloud n'y prête de véritable attention. Elle estimait sa vie belle. Elle était parvenue à fuir une meute où elle ne parvenait à se sentir véritablement chez elle, pour, après une longue pérégrination, trouver un foyer. Elle y était entourée d'ami·es : Onyx, Violette, pour ne citer qu'ell·eux.
Le Refuge portait son nom à merveille, car il en avait été un pour elle. Bien que formée à l'aventure, s'adapter à la faune et à la flore locale avait été particulièrement difficile, d'autant plus qu'elle se refusait à consommer des ressources animales, conformément à ses croyances religieuses. Elle s'était affamée, mais avait maintenant repris du poil de la bête. On la voyait même promener un ventre rebondi. Il ne lui restait plus qu'à retrouver du muscle, chose à laquelle elle s'employait par des promenades, seule ou accompagnée.

Et ce jour-là, ses pas et ceux de Violette les avaient conduit·es jusqu'à la Vasque de la Lune. Ce lieu avait une saveur particulière pour elle, à la fois douce et amère.
Elle aimait beaucoup son décors, qui était simplement ravissant, qu'importe l'heure ou la météo. De plus, il ramenait Cloud au souvenir d'un moment heureux.

Mais les choses avaient changées depuis. L'amie avec laquelle elle avait partagé cette nuit avait fait le choix de sortir de sa vie, et la Cornue avait fini par comprendre qu'elle ne pourrait pas l'y retenir de force.

La louve claire adressa un sourire triste au Nakhu, avant d'être interpellée par un très léger bourdonnement, qui vint s'ajouter à celui que provoquait Violette.
La faiblesse du bruit était atypique, et elle ne l'avait entendu qu'une seule fois auparavant.
La disciple d'Osamodas fut d'autant plus intriguée qu'aucun autre adulte ne semblait à proximité.

Elle huma l'air, sans toutefois rien percevoir qui se détachait des odeurs de l'endroit.

lancer de dés Réussite sur la base de l'intelligence de Cloud, pour déterminer si elle arrive à pister Hölzer:

Alors, elle se fia à son don. Ce qui aurait d'abord pu s'apparenter à un murmure prit en intensité, ce qui lui suffit à enfin distinguer une vague odeur lupine. Le louveteau avait été là suffisamment longtemps pour se fondre dans l'endroit. Mais, sans doute poussée par son instinct maternel, la louve finit enfin par le localiser.
- Hölzer !
Elle l'inspecta, s'assurant qu'il n'était pas blessé. Que faisait-il seul ici ?

Pour la suite:

Codage par Libella sur Graphiorum

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Cloud était tellement absorbée par la présence d'Hölzer qu'elle ne s'était même pas aperçue qu'elle et Violette étaient suivis par Agathe.
« Putain, c'est quoi c'gosse. »
Un langage fort inapproprié devant un louveteau.
Cloud avait envie de le corriger et de clarifier l'histoire, mais elle n'en eût pas l'opportunité.
« Non mais tu l'as vu, ce môme, tu trouves qu'il ressemble moins à Cloud qu'à moi ?! »
La Cornue avait été habituée à la vue d'individus lui ressemblant. Parce-que dans le monde des Douze, les disciples d'Osamodas portaient tous et toutes cornes et queue fourchue. Toutefois, cela seul ne suffisait pas à expliquer l'apparence du fils de Maps, n'est-ce pas ?
Tout d'abord parce que, sur la terre natale de la louve claire, ces attributs n'apparaissaient qu'après avoir fait le choix de ses convictions. On ne naissait pas disciple : on le devenait. Pourtant, elle s'était persuadée que celle qui fut son amie avait du croiser la route d'un autre, qui aurait enfanté Hölzer.
Et si la biologie des loups et louves de ce continent était différente ? Et si leurs gènes étaient capables de s'approprier des caractères acquis ?
Et si deux femelles pouvaient enfanter ?

Cloud fut saisie d'effroi.
Et si Hölzer était son fils ?

Les mots que Maps avait prononcé leur de leur première altercation lui revinrent en tête : "J'vais être maman, à mon âge. Et toi aussi."
C'était donc ce qu'elle avait essayé de lui dire. Elle ne l'avait pas compris, tant cela dépassait son entendement.

Les pleurs de son fils la sortirent de sa contemplation. Se voulant rassurante, elle s'approcha de lui. Il était sa priorité, alors que les vrombissements de son esprit se faisaient bien plus forts. Beaucoup de loups et de louves approchaient. Le bruit lui devenait insoutenable et les gémissements du louveteau venaient s'y ajouter.
Elle fronça les sourcils. Dieu, la migraine à venir s'annonçait particulièrement intense et douloureuse.
Mais elle ne pouvait pas abandonner son petit. Elle s'efforça de chuchoter de sa voix la plus douce :
- Chuuut, Hölzer, mon petit, chuuut... Je suis là. Personne ne te fera de mal, mon cœur, pas tant que je serai là.
Elle ne pouvait pas être plus sincère. Osamodas avait mis sur sa route un petit trésor, et elle comptait bien le protéger, quoi qu'il en coûte. Alors qu'elle essayait d'initier le contact avec son fils, cherchant à voir si celui-ci l'acceptait, elle repensa à l'un des préceptes de son Dieu : "Tu souffleras le chaud et le froid selon l’humeur des dragons divins."
Elle comprenait mieux, maintenant, comment le Grand Conjurateur pouvait être considéré comme l'un des plus grands guerriers que son Monde ait connu, tout en étant capable d'Amour.
Elle se battrait pour Hölzer, s'il le faudrait.
Mais ce n'était pas le cas, n'est-ce pas ? Tous·tes ces Etelkrus - elle pouvait maintenant distinguer leur odeur - qui approchaient n'avaient certainement pas de mauvaises intentions.

Ses oreilles se dressèrent en entendant un hurlement. Elle reporta son attention sur le petit, cherchant à le rassurer.
Si elle était troublée, peinait à gérer cette situation, alors sans aucun doute, cela devait l'être d'autant plus pour lui.
Elle avait été une louvette perdue. Toutefois, elle ne reproduirait pas l'erreur de sa mère. Elle servirait de guide.
Alexandrine, prêtresse Etelkru. Déclinez votre identité. Est-ce que le gosse va bien ? C’est ce qui nous importe. Notre alpha est en chemin.
Cloud vacille. C'est une voix forte qui résonne, elle vient souffler sur le peu de stature que la petite louve essaie de conserver. Pourtant, elle voit dans cet être une interlocutrice qui pourrait permettre le bien-être de celui qui est maintenant sa seule famille. La jeune louve se racle la gorge avant de répondre.
- Je m'appelle Cloud et suis, selon vos critères, Solitaire.
Elle bafouille, se demandant si elle doit ajouter quoi que ce soit concernant le lien filial qu'elle vient à peine de saisir, ou encore concernant se sorigines. Se ressaisissant, et maintenant convaincue, elle poursuit.
- Je suis également Princesse d'un peuple étranger et la mère d'Hölzer. Il semble aller bien, si on omet qu'il est perdu et apeuré.
Et crier à travers la tanière n'arrange rien. Il serait plus judicieux de s'approcher. La louvarde se penche de nouveau doucement sur son petit, le rassure de son regard, avant de tenter de le soulever par la peau du cou, s'assurant qu'il se laisse bien faire.

Codage par Libella sur Graphiorum

Elle avait rapidement emboité le pas d'Hollyhock lorsqu'elle avait entendu un hurlement. Les mètres défilaient et son cœur se serrait si fort, l'empêchant presque de respirer tant l'angoisse était pesante. Elle ne dit rien, oreilles couchées, jusqu'à arriver à destination. Il y avait déjà du monde, Cloud, deux inconnus, l'enfant, et plein d'Etelkrus.

La rouge resta en retrait, écoutant un peu ce qu'il se disait sans moufter. Maps se contentait de balayer la foule, esquivant le regard de la solitaire blanche et de son fils, attirée par un autre pelage plus chaleureux : Iris. Son regard triste fut un peu plus éclairé, lui souriant timidement. Elle se sentir subitement beaucoup mieux.

Aucun mal ne sera fait.

Et c'était tout ce qu'elle espérait, Maps. Elle se détendit d'un coup en un soupire, s'asseyant, regardant Hollyhock, puis Cloud, l'air plus neutre. Alexandrine serait aussi là, et elle ne comprit pas trop pourquoi la disciple d'Aka se devait d'être présente, surtout après son intervention inutilement accusatrice au Castel. il n'était pas question de dieux ... Mais elle surpassait cette pensée, au pire, elle l'ignorerait.

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Hölzer accepta de se faire porter, et Cloud entama donc la route vers la sortie, pour voir son amie la dépasser toutefois.
« Je suis Agathe, Réfugiée. »
Cloud ne put s'empêcher de la trouver encore plus jolie qu'à son habitude, tant elle débordait de détermination. Un cours instant, la Cornue l'envia. Elle aurait aimé être comme elle, elle aurait aimé pouvoir se montrer aussi forte. Et pour cette raison, et malgré le b̶r̵o̵u̸h̴a̷h̶a̴ qui l'assaillait, l'Étrangère était fière de l'avoir à ses côtés.
« J'ajouterais à ce que dit ma comparse, qu'il était perdu, apeuré et abandonné, mais qu'il se trouve désormais entre les pattes aimantes et responsables de sa mère. »
Se mettant à son niveau, Cloud vint poser délicatement l'une de ses pattes sur l'épaule de la Licorne. Un geste pour transmettre milles-et-une-idées : qu'elle était à ses côtés, qu'elle était confiante et convaincue que tout se passerait pour le mieux, qu'elle appréciait sa démarche, qu'elle l'appréciait elle…
« J'espère que ce n'était pour l'enlever à celle-ci, que vous êtes là. Qu'c'était seulement pour vous assurer de sa sécurité. C'qui est le cas. »
La louve claire est perplexe. Contrairement à Agathe, Cloud est trop naïve pour penser un seul instant au pire des scenarii.
Jusque-là, elle n'avait jamais prétendu à la garde d'Hölzer, si ce n'est pour soulager Maps. Si le petit était perdu, il était normal pour la meute de le rechercher, non ? Bien sûr, c'était avec plaisir qu'elle s'en occuperait, si Maps y consentait. C'était sa mère, après tout. C'est elle qui l'avait porté, allaité, qui avait dû prendre soin de lui et lui assurer tout le confort mais aussi la tendresse dont il avait besoin…
Pauvre Maps.
Elle avait du se sentir si seule.

Abandon, viol, au camp comme ici des accusations graves ont été proférées. Vérité se doit d’être faite, et Justice suivra.
Au mot "viol", quelque-chose se brise dans l'esprit de Cloud. Ce mot, il n'avait que trop de signification pour elle. Elle-même était le fruit d'un acte sexuel non consenti, bien qu'elle n'ait été en mesure de ne le comprendre qu'il n'y a peu.
Des larmes viennent gagner ses yeux. Doucement, elle pose le petit au sol.
- Je vous demande pardon ?
Sa voix est cassée et cassante. Elle gronde, malgré elle, alors que le liquide salin s'écoule en grande quantité sur ses joues. Il n'en faudrait que peu pour qu'elle s'écroule au sol, mais la colère la garde debout, alors qu'elle brise le contact physique d'avec la grande demoiselle pour se poster fébrilement sur ses quatre membres.
Elle est l'arbrisseau qui tente de ne pas plier face à la bourrasque, comme convaincue qu'elle ne pourrait s'en relever.

Mais la louve ailée s'écarte, et la tension semble la quitter au moins un peu.

Heureuse d'avoir des amis sur lesquels se reposer en des temps si troublés, la disciple d'Osamodas s'appuierait bien volontiers de façon littérale sur Agathe, si elle n'avait pas l'impression que ce contact pourrait faire e̵x̴p̵l̵o̴s̵e̶r̷ sa boîte crânienne. Il y a tellement de b̸r̴u̵i̶t̸ que les p̶a̵r̶o̶l̸e̶s̴ p̴r̵o̴n̴o̴n̸c̸é̴e̵s̸ ̷à̸ ̶v̸o̴i̵x̵ ̸h̵a̸u̸t̴e̷ deviennent pratiquement i̶n̷a̴u̴d̶i̴b̴l̴e̴s̵ pour elle, et elle doit redoubler de concentration et d'attention pour être en mesure de ne serait-ce que comprendre ce qui se joue. La situation est critique, il le faut. Par après, elle pourra se réfugier dans son logis et pleurer toutes les larmes de son corps pendant des heures, des jours s'il le faut, pour exorciser la d̴o̷u̴l̶e̷u̷r̶. Mais pour le moment, il lui faut tenir, au moins un peu.

Arrive une louve connue, celle qui avait appris à l'Étrangère que les frontières Etelkrus étaient à respecter.
-̸ ̵J̵e̸ ̶s̶u̷i̷s̴ ̵l̸'̸A̶l̴p̵h̷a̵ ̶H̴o̴l̷l̸y̵h̵o̵c̷k̵.̴ ̶N̴o̸u̶s̶ ̶s̸o̵m̴m̷e̴s̸ ̵l̷à̸ ̸p̶o̶u̶r̷ ̸l̶'̶e̵n̴f̵a̴n̴t̴,̷ ̸c̶o̴m̷m̴e̵ ̴l̷e̴s̵ ̸m̶i̴e̷n̴s̷ ̸o̷n̵t̷ ̵d̴u̵ ̶v̷o̵u̸s̴ ̵l̶'̷i̵n̸d̶i̶q̶u̵e̷r̴.̷
Se concentrer. Rester focalisée. Fixer ses babines pour mettre du sens sur le s̴o̵n̷, qui se perd parmi tout le reste.
Mais les l̷̙̄a̷͈̋r̵͍̀m̵͕̄e̶̞͛s̴̐ͅ brouillent la vue.
-̶̯͋ ̵̡͗J̸̲̒'̸̺̏a̴͙̅ï̷̥ṁ̶͕e̷̼̐ŕ̸̲ǎ̷̭i̴̠͠s̴̥̑ ̵̻̄m̵̐͜'̵̗͑ę̸͠n̶̆͜ṭ̶̑r̴̜͋e̷͕̊t̶̗͊è̷͈n̴͇̚ȉ̵͚r̶̗̀ ̵̜͂á̵̺v̸̲͝ẽ̷̢ć̷̝ ̸̻̄v̸̪̓ŏ̴͕ù̴̘s̸̪̓,̶̯͛ ̷̩̕a̸̤͋i̶͕͌ṅ̷̥s̵̞͝i̵͕̾ ̶͉̑q̴̟̎u̷̹͌'̸̭͑a̶̻̓v̸̇ͅe̸͓͌c̷͎̀ ̸͚͗Ḿ̶̤a̶̰̅p̷̺̒s̷͚͒,̷̱̕ ̵̻͂ñ̵̹ó̵͍t̸̖͋r̶̮̋ë̷̤́ ̵̬̑P̵͎̄r̶͍͘ê̴̘̄t̶͎͂r̷̨̅e̴̛̗s̶̩͌s̸̨͋e̵̛̥,̴͇͂ ̵̙̈́e̵̝̓t̷̟̐ ̵͖̓m̸͚̕a̷̩̅ ̸͍́c̵̠̔o̶̊ͅn̴̬̎s̴̤̊œ̷̪̉u̴͔̎r̶͙̾.̷̠͘ ̶̘̓C̵͖̾e̷͍͛l̴̥͝ľ̸̮e̵̻͊ ̴̙̊c̸̮͐i̴̱̊ ̴̼̈́n̵̝̕e̵͐ͅ ̸̨͋ẗ̸̟ā̴̩ṙ̶͇d̶̠̃è̶͜r̸̼͝a̷̢͋ ̶̯̊p̵̭̉r̸͉̕o̵̢͝b̵̺̽ä̴̬́b̶̝̎l̵͓̀e̵͚̓m̵̖̆ė̴̘n̴̠̉t̷͍̀ ̸̙̄p̸͎̐a̸͕̚s̴͓̈́.̴͈̽ ̴̰͆J̷͈̃ē̶͉ ̴̠̚v̵̜̓o̵̼͒ų̷͛s̷͈̓ ̶͚̒a̴̻͋s̴͕̿s̴̡̆u̷̠͋r̶̯̕ḙ̶̚ ̵̟́q̸̙̚ù̸̬'̴̯͠a̷̜͠ù̴ͅc̵̢̅u̸͍͑ǹ̵͎ ̵̢͛m̶̧̀a̶̬̍l̵͎̈ ̴̞̽n̸̘̔e̶̜͂ ̸͚̔v̸̯̇ǒ̷̪ų̴̒ś̸̮ ̴͙́s̷̻͝ě̸̺r̶̖͑a̵̮͑ ̸̱͂f̵͎̈a̴̺̅į̴͊t̶̩̓.̷̥͋
La mère pense avoir compris. Elle opine doucement, se saisit de nouveau de son fils.

Plus de m̴̛͕ȍ̷͉n̶̫͘d̵̙̓e̴̫͘. Plus de ḇ̵̛̅r̶̘̀̄u̴̪̐i̷̖̬̒̈́t̴̲̊̓.
Elle n'était pas en mesure de ne serait-ce que remarquer M̸̞̈́ä̴̱́p̷̺̅ş̸̂.

Codage par Libella sur Graphiorum